Moorea au loin
L'avion n'est pas trop difficile à tenir sur l'axe pendant le roulage. Il faut être juste vigilant à la rotation. Une fois en l'air, en corrigeant, pas de problèmes.
Comme sur beaucoup de terrains, les différents type de trafic obligent à cohabiter. Ici, peu de trafic militaire. L'international est plutôt en début et fin de journée. L'aviation légère est très peu représentée et ce sont principalement les ATR d'Air Tahiti qui occupent le ciel. Et c'est lors de l'arrivée d'un de ces appareils, que nous avons effectué un 360°, l'occasion pour moi de faire quelques photos, pendant que Laurent prend les commandes.
L'extrémité ouest du terrain, avec le lagon
La même vue, avec le zoom
Il m'aura fallu trois tours de piste dans ces conditions pour commencer à poser la machine proprement. Le dernier atterrissage, avec 17kts de vent, au 243, et un seuil décalé pour ne pas rouler des centaines de mettre pour rien sur la piste, a été le meilleur. La composante de vent de travers n'était certes pas très importantes, mais les turbulences avant le seuil 22 ont rendu la tenue de l'axe assez délicate. Mais là aussi, le bilan est positif. Une nouvelle expérience à retenir.
Le port et Papeete
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